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Sujet
proposé par
Hanifa
le 14/06/2005 à
11:54:39 vu 22220 fois |
France |
don d'organe |
le don d'organe est -il compatible avec la pratique de l'islam ?
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Ce sujet à reçu 10 réponses

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Point de vue
n°2295 de ahmed le 14/06/2005 à
18:03:56 |
France |
Dans la mesure où l'on garde à l'esprit le respect de l'individu, l'Islam favorise le don d'organe. Pour ce faire il existe des règles à respecter qui permettent de protéger le donneur vivant ou décédé.
La règle principale est que tout dommage chez une personne doit être réparé dans la mesure du possible. Ainsi corriger une insuffisance rénale chez un individu en lui greffant un rein est un acte licite. De plus celui qui réalise cet acte a la récompense de Dieu puisque le prophète (BSDL ) a dit: "toute personne qui aide à la résolution d'un problème chez un musulman ici-bas Dieu résout pour lui un problème dans l'au-delà ". Et il a dit " il y a une récompense de Dieu dans l'aide de tout être vivant" c'est à dire homme (quelqu'il soit) ou animal.
Donc le don d'organe pendant la vie est autorisé en Islam à condition que cela ne nuit ni au donneur ni aux ayants droits (comme l'époux, l'enfant...)
Un musulman n'a pas le droit de donner un organe unique (comme le coeur ou la totalité du foie) car d'une part il ne peut pas vivre sans celui-ci et d'autre part il n'a pas le droit de supprimer un problème pour aboutir à un problème de même valeur ou pire.
Un musulman n'a pas le droit de donner un organe apparent comme l'oeil, la main ou le pied.
La prise d'organes d'une personne décédée est
En se basant sur les règles:
Compte tenu que le don d'organe d'une personne vivante est autorisé sous certaines conditions, il est logique d'autoriser la prise d'organe d'une personne décédée. D'autant plus que ce geste peut sauver une vie humaine et ne causer aucune nuisance au décédé.
Mais cette autorisation est limitée à ce :
Que la personne décédée ait légué ses organes pendant sa vie et donc autorisé le prélèvement.
Dans le cas d'absence de légation du décédé, il faut avoir l'autorisation de ses parents ou sa famille la plus proche. La réalisation du prélèvement sans leur autorisation peut les choquer et être psychologiquement mal accepté et laisser place à des conflits sociaux
Dans le cas d'un décédé non identifié, l'état a le droit , si besoins, d'autoriser le prélèvement.
Certaines précisions à apporter. Des ovaires ou testicules, si un jour cela devient scientifiquement réalisable, restera interdite du point de vue Islamique car cela entraîne un mélange de descendance. |
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Point de vue
n°3348 de mohand le 26/06/2005 à
17:43:15 |
Algérie |
je m'adresse a AHMED dit nous eceque ta des probleme psychiatrique ou simplement un dilir .
dou tu sort ses hadiht ou ses verset .
l'histoire de don d'organe et tre recente
si comme si vous ete oubliger de se justefier que dieu a parler de don d'organe dans le coron vous ete tous des savons vous transformer l'islam sur mesure et si en parle aussi de l'airbus A380 vous aller dir aussi OMAR bano khettab a parler de ca. arretons avec vos histoire comletement redicul .. |
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Point de vue
n°3363 de ahmed le 26/06/2005 à
22:13:15 |
France |
A) Ce qu'il n'est permis ni de greffer, ni de prélever :
Il est des organes qu'il n'est pas permis de greffer (et donc, par voie d'incidence, de prélever) ; il s'agit des organes génitaux et des organes qui renferment des cellules gardant les caractéristiques de l'être humain sur qui le prélèvement a été fait (les testicules, l'ovaire, etc., dont les cellules reproductrices transmettront les caractéristiques génétiques de celui sur qui le prélèvement a été effectué) (Fatâwâ mu'âsira, Al-Qardhâwî, tome 2 pp. 539-540).
B) Concernant la greffe d'autres organes que ceux cités ci-dessus :
Certains savants considèrent que la greffe d'organes est permise en soi (dans le cadre du respect des principes de l'éthique musulmane). Ceci, disent-ils, car la règle première est celle de la permission originelle (al-ibâha al-asliyya) en l'absence d'un texte ou d'un principe extrait d'un texte indiquant une interdiction ; or, poursuivent-ils, en ce qui concerne la greffe d'organes, il n'y a bien sûr pas de texte explicite du Coran et des Hadîths l'interdisant (puisque la greffe était inconnue de la médecine d'il y a quatorze siècles). Cependant, d'autres savants, objectant à cela certains textes et certains principes, sont opposés au principe même de la greffe d'organes. Le savant indien Khâlid Saïfullâh considère que la greffe d'organes est permise en soi pour cause de nécessité (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 88 ; voir aussi Jadîd fiqhî massâïl, tome 2 pp.388-409). Nous reprenons donc ici son avis, et citons ci-après les
éléments de réponses apportés aux objections formulées par les savants qui sont d'avis que la greffe n'est pas autorisée.
"Un Hadîth dit : "Casser l'os d'un défunt est comme casser l'os d'un vivant" (rapporté par Abû Dâoûd, n° 3207, Ibn Mâja, n° 1616, 1617)". Ne s'agit-il pas, dans le cas du prélèvement d'un organe de la dépouille mortelle, d'un cas similaire ?"
Khâlid Saïfullâh rappelle d'abord que l'authenticité de la chaîne de transmission de ce Hadîth est discutable, à cause de la présence de Sa'd ibn Sa'ïd, qui est un maillon faible (dha'îf jiddan). D'autre part, même à ne considérer que le contenu de ce texte sans égard pour l'authenticité de sa chaîne, l'interdiction qu'il formule concerne les cas habituels, lorsqu'aucune situation de nécessité n'existe ; or la greffe n'est permise qu'en cas de nécessité (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, pp. 81-82).
Al-Qardhâwî écrit quant à lui que cette interdiction concerne un geste qui consiste à manquer de respect envers la dépouille mortelle d'un être humain ; or le prélèvement ne consiste pas en la même chose (Fatâwâ mu'âsira, tome 2 pp. 535-536).
"Des juristes musulmans des siècles précédents ont écrit qu'il est interdit à un homme d'utiliser des organes humains, à cause de la nécessité du respect dont on doit témoigner vis-à-vis d'eux". Khâlid Saïfullâh approuve le principe du respect, mais poursuit en disant qu'il s'agit là d'un principe général, dont les sources de l'islam n'ont pas fixé les modalités d'application. Or, l'utilisation d'organes humains qui était faite auparavant n'a rien à voir avec "l'utilisation" qui en est faite aujourd'hui dans le cadre d'un prélèvement et d'une greffe ; celui qui donne son accord pour qu'on prélève tel organe de son corps ne se perçoit ni n'est perçu par la société comme manquant de respect à cet organe (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, pp. 73-76).
"Le jour du jugement, quand les hommes seront ressuscités, qu'adviendra-t-il de l'organe qui aura appartenu à une personne puis, à la mort de celle-ci, aura été greffée sur une autre ? En ce jour du jugement, les organes témoigneront de ce qu'aura fait leur possesseur sur terre ; eh bien, pour lequel des deux l'organe greffé viendra-t-il témoigner ?"
Le jour du jugement l'homme sera certes ressuscité avec un corps, mais il ne sera pas composé de ces organes précis qu'ils aura eus sur terre : ceux-ci auront été réduits en poussière depuis longtemps ; il recevra d'autres organes ressemblant à ceux-ci. Le Hadîth ne dit-il pas que les hommes seront ressuscités non circoncis (rapporté par Al-Bukhârî, n° 3071, Muslim, n°2860) ? Il y a même des hommes qui auront été voyants sur terre et qui seront aveugles le jour du jugement (Coran). Le simple fait qu'un organe aura appartenu à l'un, puis, après son décès, aura été greffé sur un autre ne semble donc pas empêcher que l'un et l'autre auront tous leurs organes le jour du jugement.
"Le corps n'est qu'un dépôt entre les mains de l'homme ; il appartient à Dieu ; comment l'homme pourrait-il être d'accord pour céder ce qui appartient à Dieu ?"
Le fait que, de quelque chose, Dieu est le réel propriétaire et l'homme gérant est-il suffisant pour interdire à l'homme de céder cette chose ? S'il la cède d'une façon qui est hors des principes voulus par Dieu, alors oui.
Mais sinon non : la preuve c'est que l'homme peut - dans le cadre des principes voulus - offrir son argent à des nécessiteux ; pourtant, c'est bien Dieu qui est propriétaire de l'argent, comme le dit le verset coranique : "Et donnez-leur de ce bien de Dieu qu'Il vous a donné" (Coran ).
Réponse concrète :
1) Le prélèvement et la greffe d'organe humains ne constituent pas en soi des manquements au respect de l'être humain et de ses constituants. Cependant, la vente d'organes humains est interdite. (Cf. Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, pp. 88-89).
2) Il est permis de recevoir un greffon en cas de nécessité (danger de mort, ou présence de graves difficultés comme la cécité) et quand les médecins compétents jugent très probable la guérison par le moyen de la greffe (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 88). Le musulman peut tout à fait recevoir un organe prélevé sur un non musulman (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p.
89).
3) Le prélèvement d'un organe sur une personne défunte est possible à la première condition qu'il en ait donné l'accord lors de son vivant (car il en était alors le gérant) et à la seconde condition que ses proches en donnent aussi l'accord après son décès (car ce sont eux qui s'occupent de sa dépouille et qui peuvent, au cas où a été assassiné, demander aux autorités d'un pays musulman l'application du talion au meurtrier) (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 89). Cependant, il n'est pas possible que l'on prélève la majeure partie du corps du défunt, ni une partie du corps telle que le bain mortuaire, l'enveloppement dans le linceul et la prière funéraire ne puissent plus être possibles ensuite (Fatâwâ mu'âsira, tome 2 p. 536).
3') Le prélèvement d'un organe sur une personne vivante est possible à condition qu'elle soit d'accord, que cela ne lui cause aucun problème de santé (Islâm aur jadîd medical massâ'ïl, p. 89). Pour qu'un tel don soit possible, il faut concrètement :
a) qu'il soit gratuit ;
b) que le donneur soit adulte (le don de l'enfant - que ce don ait été décidé par lui-même ou par son tuteur légal - n'est pas permis ;
c) qu'il s'agisse d'un organe interne (le don d'un organe externe - tel que main, pied, oeil - n'est pas autorisé) ;
d) qu'il s'agisse d'un organe que l'on possède en double, comme le rein (le don d'un organe interne qui n'est pas double - comme le foie - n'est pas autorisé) ;
e) que les médecins aient exprimé leur avis confiant que l'on pourra ensuite mener une vie normale avec l'autre organe restant (sinon cela n'est pas autorisé) (Fatâwâ mu'âsira, tome 2 pp. 532-533).
Wallâhu A'lam (Dieu sait mieux
J’espère avoir répondu a ta question et je t’indique un lien qui t’en dira plus il suffit de copier coller : http://www.muslimfr.com/article.php?sid=137 |
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Point de vue
n°16271 de Somaya le 23/06/2006 à
05:03:08 |
France |
Salamaleikoum,
On doit impérativement de son vivant, envoyer un coupon qui se trouve dans les liens suivants à la Biomédecine ! Si on ne signale rien de son vivant, on vous prélevera du tissus ou des organes à votre décès.. A réfléchir de son vivant !
http://www.agence-biomedecine.fr/project/22juin2006/fichiers/guide.pdf
http://www.transplantation.net/txpub/showContent.do?contentid=boo.art.religion&pageid=FDO_DOAM
http://www.transplantation.net/txpub/showContent.do?contentid=boo.art.priorite_nationale&pageid=FDO_DOAM
Transmettez ce message à tout ceux qui vous entourent, très important !! salamaleikoum wa ramatullah wa barrakatou ! |
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Point de vue
n°16272 de Somaya le 23/06/2006 à
05:09:37 |
France |
Salamaleikoum,
Ceci est un message très important que tout musulmans doit savoir de son vivant, cliquez sur les liens et vous comprendrez ! :
http://www.agence-biomedecine.fr/project/22juin2006/fichiers/guide.pdf
http://www.transplantation.net/txpub/showContent.do?contentid=boo.art.religion&pageid=FDO_DOAM
http://www.transplantation.net/txpub/showContent.do?contentid=boo.art.priorite_nationale&pageid=FDO_DOAM
Transmettez ce message à tout ceux qui vous entourent, très important !! salamaleikoum wa ramatullah wa barrakatou ! |
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Réponse n°25302 de sa... désactivée par les votes des visiteurs.

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Point de vue
n°25305 de samir le 01/12/2007 à
12:13:55 |
France |
Je pense que les décisions de l’Académie du droit musulman basée à la Mecque (et qui est affiliée à la Ligue islamique mondiale – et du Conseil international de jurisprudence basé à Jeddah en Arabie Saoudite (et affilié à l’Organisation de la conférence islamique – OCI) sur la transplantation d’organes précisent qu'il est permis de prélever un organe d’un mort pour le greffer dans le corps d’une personne vivante si sa survie dépend de cette opération, ou quand celle-ci est nécessaire pour assurer une fonction essentielle de son organisme. Pour cette opération, il faut avoir le consentement du défunt, de ses héritiers légitimes après sa mort ou l’accord de l’autorité musulmane, si le défunt est un inconnu et (ou) sans héritiers. Cette permission est valable dans le seul cas où les greffes sont pratiquées sans but commercial et lucratif. Les organes doivent être mis gratuitement à la disposition des établissements médicaux car il est strictement interdit de faire le commerce d’organes d’origine humaine. En accord avec les données actuelles de la science, le concept de mort encéphalique est reconnu, une personne étant "légalement décédée quand il y a arrêt total, et jugé irréversible par les médecins, soit des contractions cardiaques et des mouvements respiratoires, soit des fonctions vitales cérébrales avec début de destruction du cerveau”. Ces décisions reposent sur l'analyse suivante : En Islam, seul Dieu donne et reprend la vie, nous ne sommes que les usufruitiers de la vie lors de notre passage sur Terre. Cependant, la maladie n'est pas une fatalité et il faut choisir le moindre d’entre deux maux. L'intérêt du vivant a donc priorité sur le respect dû au cadavre. Afin de garantir la prééminence et le caractère sacré de la vie, le don d'organe est en conséquence reconnu et valorisé comme une bonne action, à condition d'un consentement, du respect de la personne et d'une non-commercialisation. « Quiconque sauve la vie d’un seul être humain est considéré comme ayant sauvé la vie de l’humanité tout entière ! » (Coran 5/32) Le Conseil européen de la fatwa (siège social à Dublin, Irlande) a complété les résolutions sur les dons d’organes par les recommandations suivantes relatives au consentement et à la volonté du défunt : Si, de son vivant, une personne a exprimé par écrit sa volonté de faire don de ses organes après sa mort, ce testament est souverain et doit être exécuté. Les héritiers du défunt n’ont pas le droit d’apporter des modifications à ce testament car la volonté de la personne décédée prime sur celle des proches. Si la loi du pays stipule que l’absence d’inscription constitue une présomption d’accord à un prélèvement d’organes, alors, de son vivant, le musulman doit faire inscrire, dans un registre son opposition à un prélèvement d’organes sur son corps après décès, sinon il donne son accord implicite. Du don à la greffe Malheureusement, les délais sont souvent très longs, et variables selon l'organe, mais aussi la région et même l'hôpital où le malade est inscrit. En 2006, 229 patients sont décédés en France faute d'avoir pu être greffés à temps. Le corps du donneur Après avoir vérifié l’absence d'opposition du défunt auprès de sa famille et de ses proches, des prélèvements sanguins de vérification ont lieu sur le corps afin de dépister d’éventuelles maladies transmissibles. Ces prélèvements sont, si possibles, effectués avant toute transfusion ou hémodilution afin que le sang soit à 100% celui du donneur. Puis, le prélèvement du ou des organes est effectué : c’est une intervention chirurgicale respectant les règles d’hygiène et d’asepsie qui se passe au bloc opératoire. En cas de prélèvement multiple les différentes équipes chirurgicales se concertent afin de désigner, entre autre, celle qui aura la charge de la restauration tégumentaire, c'est-à-dire, rendre un corps présentable (c’est habituellement l’équipe procédant aux derniers prélèvements). Après le prélèvement des organes du donneur par l’hôpital, le corps du défunt est rendu à la famille. Son aspect extérieur est préservé; c’est la restauration tégumentaire qui est placée sous la responsabilité du chirurgien. Ce dernier assure : * la suture musculaire (indispensable) ; * la fermeture cutanée complète, hermétique et esthétique. En cas d'atteinte de l'intégrité de la personne décédée (prélèvement d'un membre ou du visage par exemple), la famille est informée de la nature de l'intervention et doit donner un accord spécifique. Une prothèse est alors façonnée de manière à respecter l'apparence du corps. La sélection du receveur Le choix du receveur se fait selon des critères médicaux, de justice et logistiques. En France, il se fait selon des textes réglementaires definissant les "règles de répartition", sous l'autorité de l'Agence de la biomedecine. La liste d'attente pour une greffe est gérée de façon transparente par l'Agence de la Biomédecine, qui est totalement indépendante des équipes de prélèvement et de transplantation, ce qui garantit son impartialité. Les greffons sont attribués aux malades en attente de greffe selon des règles de répartition bien précises, qui prennent à la fois en compte des critères médicaux et les principes de justice. Il n'existe donc pas de possibilité de « passe droit » pour les malades. La loi de bioéthique précise que « Les règles de répartition et d'attribution des greffons doivent respecter le principe d'équité. » Un des facteurs historique de réussite de la greffe reste la compatibilité HLA entre donneur et receveur : plus les patrimoines génétiques du donneur et du receveur sont proches, moins le greffon a de chance de se faire rejeter. Néanmoins, compte tenu des progrès des traitements immunosuppresseurs, cette régle est de moins en moins vraie et il est aujourd'hui possible de réaliser des greffe sans aucune compatibilité. |
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Point de vue
n°25956 de Limaa le 02/02/2008 à
12:28:03 |
France |
je voudrais répondre à samir: tout d'abord merci de ta réponse et merci d'avoir apporté les précisions nécessaires. Cependant, je voudrais emettre 2 objections: -la mort encéphalique correspond à la mort cérébrale complète et non pas le début de la mort cérébrale mais les fonctions vitales telles que la circulation et la ventilation sont conservées grâce à des machines. Mais le coeur bat toujours sinon, les organes ne pourraient pas être conservés! -ensuite, la compatibilité HLA est toujours d'actualité d'après mes connaissances ainsi que le groupe sanguin puisque les rejets restent possibles malgré les traitements immunosuppresseurs. |
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Point de vue
n°26610 de adel le 22/03/2008 à
20:22:28 |
France |
Bonsoir tt le monde.
Oui je pense que le don d'organe est compatible avec l'islam et je dirais plutot conseiller dans la mesure ou cet acte est accompli pour sauver une vie humaine. Mais cette pratique dois avoir des regles et des lois pourque cela ne prend pas forme de pieces de rachange et voir aussi un aspect commercial.
on dois connaitre a l'avance le receveur et le donneur et que cela se fait avec conviction sans le besoin d'argent le donneur ne recoi aucun sou puisque c un acte de conscience il recevera simplement la reconnaissance de dieu et du receveur point. dument ce que crois etre juste |
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Point de vue
n°29848 de dina le 23/11/2008 à
20:13:03 |
France |
je voudrais juste savoir si le don d'organe et de sang est autorisé que le receveur ou le donneur soit musulmans ou pas, |
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