J’ai beaucoup d’admiration pour les personnes de sciences et de culture leurs devoirs sont d’une grande noblesse, et pourtant je trouve beaucoup de difficultés à comprendre la gestion de leurs domaines.
Nos intellects (penseurs, écrivains…..) ne publient plus chez eux et leurs têtes nous y particulièrement inconnus, guettant l’organisation des rencontres dans différents pays étrangers pour pouvoir se faire une petite porte d’entrée de présentation d’un cv ou d’une carte visite pour se faire connaitre et de se faire accréditer par la tutelle.
Or dans chaque pays, existe un organisme dirigé par un haut responsable de gouvernement
(Ministre, haut commissaire, détaché d’état, représentant……) avec tout un cadre d’infrastructure et de personnel nécessaire y compris un budget annuel précédé d’un programme d’état de gouvernement et alors………………………..
Les intellects montrent du doigt l’administration, banaliser par le manque de professionnalisme, politiser par des personnes affamées du pouvoir, diriger par des ignorants, se domaine se simplifie à un cercle fermé de certains membres muni d’ un véto d’ignorance et d’alphabétisme.
Ou sont donc nos intellects ?
J’ai envie de répondre tout de suite, non pas parce que je connais leurs endroits mais parce que la réponse est si facile, il n’ya presque personne, mais pour être juste je dirai qu’ils sont absents.
Le printemps arabe a fait bouger la société mais les intellects n’étaient pas les guides dignitaires, ils se sont arriérés dans leurs hésitations à mener le flambeau, ils se sont marginalisés dans leurs retraites.
Si l’organisme est le mal qui gangrène la lumière de nos penseurs pourquoi ce silence mais si chacun se retrouve dans le silence et l’obscurité, sachez qu’il est à blâmer à jamais.
L’organisation des grandes manifestations (festival) demande un investissement colossale, je n’arrive jusqu’à présent pas à trouver une explication convaincante et objective, je pourrai me contenter d’un murmure à l’oreille pour les pays à gros moyens, avance dans la production et la publication mais qu’on est-il pour ceux qui n’arrivent même pas à assurer le pain à leurs peuples ni à tenir promesses à leurs objectifs ?
L’argent du peuple gaspillé pour en fin recueillir des mots de remerciement et de reconnaissance qui ne rempliront pas les ventres des pauvres, ni construiront un abri, ni école, ni dispensaire pour les marginalisés, ni créeront d’emploi pour les chômeurs…………………………………………………………………………….................
Affaire à suivre
Moi qui dis tous
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