|
|
|
 |


Whois-is de la rubrique points de vue
[Ses pseudos][Ses sujets][Ses réponses]
[Akli.] [akil] [J'AI HONTE POUR VOUS ...] Blog p550 posté le 07/10/2005 à 19:08:19 par akil une femme musulmane peut-elle devenir IMAM? La femme musulmane ne peut pas avoir accès au poste d'imam. S'agit-il d'une interdiction coranique, d'un hadith ou d'une coutume?
Merci à toute personne qui apporte des éclaircissements sur ce sujet sérieux. 0 Pour ; 1 Contre Blog p513 posté le 24/09/2005 à 12:49:53 par Akli. Abdelaziz Bouteflika désavoué par le Conseil de Sécurité de l’ONU mis en ligne le samedi 17 septembre 2005
« Par sa politique de réconciliation nationale qui effacera les crimes du terrorisme islamiste et des forces de l’ombre. » Les chefs d’état et gouvernement réunis à la mi-septembre, lors de la ‘’60 session’’ de l’ONU ont adopté des textes sur la lutte contre le terrorisme et la prévention des conflits, en particulier en Afrique, rejetant la plaidoirie du président Bouteflika des algériens, portant sur l’amnistie des terroristes islamistes, prévue après les grandes consultations ‘’populaires’’ du 29 septembre.
Il a plaidé la non culpabilité des terroristes islamistes et des forces de l’ordre dans les massacres de population sans défense. Définition consensuelle du terrorisme Au moment où le conseil de sécurité de l’ONU, plonge dans ses textes de projets de résolution en faveur de la paix et de la sécurité internationales, réaffirmant qu’il est impératif de combattre par tous les moyens, conformément à la Charte des Nations Unies, le terrorisme sous toutes ses formes, Bouteflika (dont des milliers de victimes : 5 octobre 1988, Guerre Civile, Tafsut Imazighen…pèsent sur sa conscience), sensé à être plus vigilant et déterminé à lutter de même contre les génocidaires islamistes se targue stoïquement à chercher une nouvelle sémantique et appellation au nom ‘’terrorisme’’.
A sa manière il contourne la lutte contre le péril islamiste qui a mis à feu et à sang un pays aux multiples ressources. Cette question de sémantique a été déjà soulevée en 1996 à Tunis, lors de la 13éme session du conseil des ministres arabes de l’intérieur. C’est pour dédouaner les gardiens des puits de pétrole des pays du Golfe qu’il se jette dans cette rhétorique. C’est absurde ! Le terrorisme islamiste reconnu d’une dangerosité extrême par toutes grandes nations devient aux yeux du premier magistrat de la nation algérienne un cours de linguistique. Ecoutons-le : « Il serait donc souhaitable que le projet de Convention globale en cours de négociation soit finalisé le plus rapidement possible pour combler ces lacunes, en incluant notamment une définition consensuelle du terrorisme, ainsi que la délimitation du champ d’application de cette Convention ». Il palabre, tandis que le conseil de sécurité condamne avec la plus grande fermeté tous les actes de terrorisme, quels qu’en soient les motifs, où qu’ils soient commis et quels qu’en soient les auteurs, en tant qu’ils constituent l’une des plus graves menaces contre la paix et la sécurité, et réaffirmant la responsabilité principale qu’il assume dans le maintien de la paix et de la sécurité internationales, conformément à la Charte des Nations Unies.
Le conseil de sécurité de l’ONU condamne aussi avec la plus grande fermeté l’incitation à commettre des actes terroristes et récusant toute tentative de justifier les actes terroristes ou d’en faire l’apologie, susceptible d’inciter à commettre de nouveaux actes de terrorisme. Profondément préoccupé par le nombre croissant de victimes, notamment parmi les civils de diverses nationalités et croyances, d’actes de terrorisme inspirés par l’intolérance ou l’extrémisme dans diverses régions du monde, le conseil de sécurité réaffirme sa profonde solidarité avec les victimes du terrorisme et leur famille, et soulignant qu’il importe d’aider les victimes du terrorisme et leur famille, en leur apportant le soutien dont elles ont besoin pour faire face à leur perte et à leur douleur.
Lutte totale contre le terrorisme
Bouteflika héritier du conseil de la révolution, qui a maté le FFS en 1963 et détrôné Benbella par un coup d’état en 1965, distille des thèses mi-figue mi-raisin. D’un coté il parle de réduire les maquis islamistes, d’un autre il pactise avec Madani Mezrag et les va-nu-pieds d’émirs (émirs de Zbarbar, de Mizrana, de Tamzguida, de Chréa, d’Akfadou, de Guergour… autant de territoires, mais sans puits de pétrole.) Dans son discours tonitruant, il dit « Notre engagement total dans la lutte contre le terrorisme a permis en Algérie de limiter considérablement ce phénomène qui n’est plus réduit qu’à des foyers isolés dont nous ne négligeons pas la nocivité mais qui ne mettent plus en danger notre société et les structures de notre Etat. » Mais n’empêche et malheureusement, quatre membres des forces de l’ordre, dont un officier de gendarmerie, ont été tués dans deux attentats perpétrés mardi le 13 septembre par des groupes armés dans la région de Boumerdes à l’est d’Alger, rapporte mercredi la presse algérienne. Aussi le jeudi 15 septembre à Ouled Attia dans la région de Collo, des terroristes du GSPC, ont assassiné deux bergers, des gendarmes accompagnés de membres de la garde communale, qui se sont déplacés en premier, ont été surpris, l’un d’eux est tué et trois autres blessés. Deux autres membres de la garde communale furent également sérieusement touchés. En multipliant les attentats dans la région ces dernières semaines, les groupes armés islamistes en activité, affichent clairement leur opposition à tout dialogue avec l’Etat, et cela à quelques jours du référendum sur la charte pour la paix et la réconciliation nationale du président Abdelaziz Bouteflika, prévue le 29 septembre
Ramener la paix dans nos villes ?
Se croyant rompu dans la diplomatie, plus fort que Bush, Blair et Poutine réunis, dont leurs pays sont touchés par le terrorisme et qui luttent implacablement contre ce fléau, Bouteflika nage à contre courant, en voulant tendre la joue du peuple algérien aux faucheurs de vie. Il anticipe dans la lutte contre l’hydre islamiste en jugeant que « Le problème qui se pose pour nous est alors de trouver une voie de sortie de crise qui, sans nous détourner de notre combat contre les manifestations terroristes, nous permettra de ramener la paix dans nos villes et dans nos campagnes et de restaurer le tissu de notre société en favorisant la réintégration sociale de ceux qui ont été trompés par une propagande mensongère et ne se sont pas rendus coupables de crimes de sang, de viols ou de destructions de biens publics. » Il inaugure une voie de sortie de crise unilatéralement. C’est-à-dire, sans passer par les débats populaires (projet de loi non soumis aux débats citoyens), à l’APN (parlement amputé de groupes parlementaires FFS, RCD… ayant démissionné lors du 2ème printemps berbère), au conseil des ministres (dont le 1er ministre est secrétaire d’un parti né avec des moustaches, en l’occurrence le RND.
D’ailleurs cet énergumène est le fossoyeur attitré de la politique de l’emploi, de la promotion socio économique et de la démocratie en général, en mission spéciale pour détruire l’honneur de la Kabylie par des relais mafieux et des mercenaires.) Ceci dit, Bouteflika implique le peuple dans son projet, alors qu’en matière de droit constitutionnel, il dispose du droit de grâce présidentielle, forme première du pardon, pour la société. Quant à l’amnistie, elle est un fait législatif du parlement, c’est-à-dire d’élus du peuple. L’amnistie résulte donc d’une loi, et concerne tout un groupe de personnes. Historiquement, l’amnistie, comme la grâce est d’abord un usage, considéré comme le garant d’une certaine « paix sociale ».
Est-ce le cas en Algérie ?
Les repentis sont remontés dans les maquis ou recyclés dans des réseaux de banditisme et de dealers. La voie que propose Bouteflika est considérée comme un produit fini, prés à la vente dans les supers marchés ou dans les souks « C’est la politique de réconciliation nationale qui est actuellement proposée au peuple algérien et sur laquelle il doit se prononcer par un référendum le 29 septembre prochain. Il s’agit là d’une expérience qui peut donner des enseignements utiles sur la manière de mettre fin à une situation après le démantèlement des structures du terrorisme. » Quelle expérience propose-t-il que celle de gracier les tueurs de tous poils et de toutes barbes ! Personne ne voudrait vivre des expériences, en remuant le couteau dans la plaie. Les blessures, les douleurs, les larmes des victimes suffisent à leur vie réduite à une vie de chien. Les citoyens algériens aspirent à une justice des braves, une justice du lendemain d’une guerre colonialiste et dictatoriale. Heureusement d’autres sons de cloche de la liberté, résonnent dans l’espace des Etats démocratiques périphériques, où la libre pensée et la justice ont droit de cité. 0 Pour ; 1 Contre Point de vue n°989 posté le 26/04/2005 à 20:03:32 par J'AI HONTE POUR VOUS ... Réponse au blog p115 Qu'il soit noir ou blanc, musulman ou crétien, vert ou rouge qu'ils....ext..
une femme reste et restera une femme. Une femme ne cherche que sont bonheur et celui des ses enfants. Par contre vous Vous ete quoi des Dieu ? ou des hommes ?
Nous sommes dans des pays de liberté par contre vous vous vivez au moyen age.....
ouvrez votre porte, oblier votre religion et regarder devant vous . Avant de parler de vos femmes, vos femmes sont le sang de vos vie et sans elles ext.....
j'ai honte pour vous et vos propos et pour finir un seule mot LIBERTE. 0 Pour ; 0 Contre
|
|
|
|
|
|